Ivres, je vous veux ivres d’émoi, Tout à moi, Fiévreux, transis d’effroi, Même si j’ai honte parfois, Oh, et mes mots comme des mains, Qui vous tiennent, Et vous soumettent enfin, Je vous rêve contraints...
Mais la nuit mes rêves ont des formes, De théâtres sans décor, J’attends l’aurore
Libres, la nuit mes rêves dérivent, En ces lieux qu’on dit tranquilles, Qu’entendent-ils ?
Vifs, ils vous faudra être vifs, En effet il faut s’attendre au pire, aux caresses et aux griffes, Oh, et mes mots comme des liens, Qui vous tiennent et me délivrent enfin, Je vous rêve mille contre un...
Mais la nuit mes rêves ont des formes, De théâtres sans décor, J’attends l’aurore, Libres, la nuit mes rêves dérivent, En ces lieux qu’on dit tranquilles, Qu’entendent-ils ?
"Ivres" (Ch)Arman(t) Méliès
1 commentaire:
mon dieu, c'est le meilleur calembour depuis l'invention du pneu.
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