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Chapitre second...

"Ne pas s'attarder à une personne, fût-elle la plus aimée ---, toute personne est une prison et aussi un refuge."
(Nietzsche, Par-delà le bien et le mal)

6 commentaires:

Anonyme a dit…

Hello !
Je préfère René Char : "ne te courbe que pour aimer. Si tu meurs, tu aimes encore".
L'épaisseur triste de Nietzsche est peut-être due à son chagrin d'amour ? En fait, derrière ces mots-là, il ne réclamerait qu'un gros calin de sa dulcinée...
Sinon, tu vas bien ?!

Anonyme a dit…

c'est pour ça que je dors à l'hotel...
http://flickr.com/photos/byvince/63406242/

Anonyme a dit…

Nietzsche n'est certainement pas un pessimiste. Toute sa philosophie vise à réveiller la vie, à l'accomplir pleinement. La misère et le malheur l'ont touché par manque de reconnaissance artistique, mais on peut dire qu'il n'a jamais succombé et certainement pas à une quelconque morbidité.

Anonyme a dit…

quel déferlement de passions ! c'est donc vrai que Nietsche la défendait, la passion, le désir, l'enthousiasme de l'Homme. Sauf erreur, il me semble qu'il fut reconnu, du moins à l'université, et ce assez jeune, mais malhheureux en amour (rateau avec son elève et future biographe, non ?). Et surtout, il n'a pas fini par devenir fou, ce brillant homme ? et chacun puise, interprète à sa guise... alors une phrase sortie de son écrin, ca suscite toujours un débat... sympa... ;-)

Anonyme a dit…

Nietzsche reconnu ? Par rapport à son immense postérité qui fait de lui le philosophe majeur de son siècle, de son vivant sa gloire fut assez mince et il n'a jamais connu la célébrité d'un Hegel, Kant ou Schopenhauer.
On peut comprendre que les femmes se soient méfiées de lui, vu son anti-féminisme forcené !
Exemple : "A-t-on entendu ma réponse à la question comment on guérit une femme, comment on fait son salut ? On lui fait un enfant." Attitude patriarcale s'il en est...

Anonyme a dit…

ça devient grave